 Quand le noir et la lumière
donnent l'espoir |
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| (Le Rappel, 22 septembre 1998, n°220) | ||
| Inauguration ce vendredi 18 septembre de l'exposition de Jaques Wesoly-Wattier et de son filleul, Jean Renouf : deux pastellistes étonnants. | ||
| Le Célèbre pastelliste belge
Wesoly-Wattier était présent vendredi dernier à
Beaumont ainsi qu'une vingtaine de ses tableaux.
Rencontre. Cet ancien carrossier est frappé en 1984 par le saturnisme, il se reconvertit alors dans un art personnel. Sa technique est unique, il utilise le pastel noir travaillé avec les doigts et de la ouate. Dieu lui dicte ses oeuvres à travers des rêves! A première vue, ses oeuvres peuvent paraître sombres, voire effrayantes, mais il subsiste toujours un espoir représenté par une lumière. Très croyant, cet autodidacte explique que tout simplement : "Mon inspiration est onirique, elle vient de mes rêves dictés... par Dieu!". |
Le dernier surréaliste? Ce surréaliste s'évoque souvent dans ses peintures, il se représente par un fauteuil dont les bras se prolongent en mains d'artistes. Certains disent aujourd'hui de lui qu'il est peut-être bien le dernier surréaliste. Mais Jacques Wesoly-Wattier préfère que l'on parle de son filleul, Jean Renouf, dont c'est la première exposition. Jacques Wesoly-Wattier parraine celui-ci. Un filleul qui recrée "la nature" Ce Français emploie la peinture à l'huile et les pastels de couleurs sur un support inconnu. Il provient du Borinage. Il recrée à travers ses oeuvres des paysages de neige, des fleurs et des couchers de soleil. G. Cuisenaire - V. Bogert |
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